analyse filmique

The monstrejo

The monstrejo, un « petit » film d’animation qui est une merveille de drôlerie et d’intelligence.
Un atelier pour explorer la figure du monstre et ce qu’elle dit de nous : quelles représentations du monstre privilégie-t-on ? à quelles peurs est-il associé ? faut-il l’anéantir ? comment peut-on l’apprivoiser ?

Le travail peut se faire dans le cadre d’un ensemble réunissant ce film d’animation et :
- un extrait d’une bande dessinée, Mot ;
- un autre extrait tiré d’un roman, Amado monstruo .

Eramos pocos, de Borja Cobeaga

Joaquín, que sa femme vient de quitter, décide d’aller rechercher, avec son fils, la grand-mère abandonnée à l’asile pour qu’elle s’occupe de la maison. Peu à peu le doute s’installe : n’y a-t-il pas erreur sur la personne ? Un quiproquo que sans doute personne n’a intérêt à lever…
Au delà de l’humour et du problème de société abordé — la famille, la place des personnes âgées — la construction de ce court métrage de Borja Cobeaga et les procédés mis en œuvre par le cinéaste sont particulièrement subtils et méritent qu’on s’y attardent.

Bread and roses, de Ken Loach

Bread and roses s’inscrit dans la production d’un cinéma social et politique de Ken Loach, mais cette fois-ci hors des frontières britanniques. Il s’agit toujours d’un cinéma militant qui s’intéresse aux exploités, en l’occurrence les immigrés latinos installés en Californie, plus précisément dans le film, à Los Angeles.