vocabulaire

Les questions préalables

In GFEN (2002). (Se) construire un vocabulaire en langues. Lyon : Chronique sociale (pp. 111-115)

Pour permettre d'accéder à la compréhension d'un texte ou de tout autre document, on peut aussi poser des questions… à condition que ce soient des questions préalables, mises à la connaissance des élèves avant même le document à étudier.

Les intrus

In GFEN (2002). (Se) construire un vocabulaire en langues. Lyon : Chronique sociale (pp. 107-110)

Il faut rassurer les élèves qui craignent de ne pas comprendre un texte, quand ils ne comprennent pas tous les mots. Il est nécessaire aussi de le faire dans les occasions où la rencontre d'une perturbation risque de les décourager. Cette mise en confiance qui permet de dépasser le moment de déstabilisation doit être construite à travers des situations qui permettent de vérifier qu'on peut dépasser l'obstacle.

Le texte "abîmé"

In GFEN (2002). (Se) construire un vocabulaire en langues. Lyon : Chronique sociale (pp. 103-105)

Il faut avant tout rassurer : ce n'est pas parce qu'on ne comprend pas tout qu'on ne comprend rien ; ce n'est pas parce qu'il nous manque des mots qu'on ne peut pas construire le sens d'un texte. La compréhension des mots est le produit de la compréhension totale. Il s'agit donc de rassurer en proposant des situations où les élèves puissent se rendre compte qu'ils peuvent comprendre beaucoup plus de choses qu'ils ne croient.

La re-création de texte

In GFEN (1999). Réussir en langues. Un savoir à construire. Lyon : Chronique sociale (pp. 77-81)

Cet atelier s'inspire largement de celui créé et publié par Henri Bassis, en 1984 et animé très souvent à la fois dans des classes du primaire et du secondaire et dans des stages de formation d'adultes. En classe de alngue, il est tout aussi opératoire pour "s'approprier des formes et des niveaux de langage produits par des auteurs qui se sont exprimés avec une maîtrise reconnue par beaucoup".

La fresque effervescente

Le texte qui suit est un extrait de Maria-Alice Médioni, Enseigner la grammaire et le vocabulaire en langues, Chronique sociale, 2011. Il s'agit du chapitre "Le conte. Travailler la cohérence et la cohésion", reproduit ici avec l'autorisation de l'éditeur. Cette façon de procéder peut être utilisée comme embrayeur d’écriture ou pour l’émergence des représentations, quelle que soit la question abordée.

Stratégies de compréhension. Accepter de ne pas tout comprendre pour pouvoir comprendre

L'accent placé sur la compétence communicative par le CECRL a mis à l'ordre du jour la compréhension comme une des activités langagières à travailler en priorité dans les classes de LE, dans la mesure où jusqu'à l'avènement du Cadre, cette activité langagière était plutôt le parent pauvre, l'activité privilégiée étant celle de la production de type commentaire, généralement, et particulièrement en espagnol.

Pages