Cinéma

Atelier "Les petites victoires"

Un film français consensuel, agréable et… lisse. :
"Cette comédie dopée à la bienveillance est très réussie (…) histoire d’humour tendre (…) film drôle et lumineux fait parfois monter les larmes aux yeux (…) Voilà un film qui fait du bien ».
« Un film touchant et drôle » .
« Le tandem Julia Piaton - Michel Blanc fait mouche dans cette comédie tendre et engagée » .
Un film un peu fourre-tout qui traite à la fois de la désertification des campagnes, des différentes facettes des personnages et leurs sentiments, de la question de l’illettrisme…

Le monstre, ce héros

A partir de trois formes d’expression artistique — film d’animation, BD et roman — un atelier pour explorer la figure du monstre et ce qu’elle dit de nous : quelles représentations du monstre privilégie-t-on ? à quelles peurs est-il associé ? faut-il l’anéantir ? comment peut-on l’apprivoiser ?

Le travail se fait dans le cadre d’un ensemble réunissant :
- The monstrejo, un « petit » film d’animation qui est une merveille de drôlerie et d’intelligence ;
- un extrait d’une bande dessinée, Mot ;
- un autre extrait tiré d’un roman, Amado monstruo .

The monstrejo

The monstrejo, un « petit » film d’animation qui est une merveille de drôlerie et d’intelligence.
Un atelier pour explorer la figure du monstre et ce qu’elle dit de nous : quelles représentations du monstre privilégie-t-on ? à quelles peurs est-il associé ? faut-il l’anéantir ? comment peut-on l’apprivoiser ?

Le travail peut se faire dans le cadre d’un ensemble réunissant ce film d’animation et :
- un extrait d’une bande dessinée, Mot ;
- un autre extrait tiré d’un roman, Amado monstruo .

I, Daniel Blake de Ken Loach

Un film de Ken Loach (2016), Palme d'Or au festival de Cannes, qui raconte le parcours ubuesque de Daniel Blake face à une administration dénuée de toute humanité dont les seules préoccupations semblent être de remplir des formulaires et de punir les pauvres plutôt que de leur prêter secours. Malgré tous ses efforts, son refus de céder devant les innombrables obstacles, et sa dignité, Daniel Blake meurt avant d'obtenir la reconnaissance de son bon droit.

Bodas de sangre (Carlos Saura)

In MEDIONI M.-A. (2005). L'art et la littérature en classe d'espagnol. Lyon : Chronique sociale (pp. 205-210)

Inspiré de la pièce de Federico García Lorca dont il reprend le titre, le film de Carlos Saura est un drame dansé. En fait, c'est à la répétition du spectacle de danse qu'est convié le spectateur avec des acteurs-danseurs ou chanteurs de renom, Antonio Gades, Cristina Hoyos, Marisol, José Mercé…

Fresa y chocolate (Tomás Gutiérrez Alea)

In MEDIONI M.-A. (2005). L'art et la littérature en classe d'espagnol. Lyon : Chronique sociale (pp. 196-204)

Un énorme succès et un des rares films cubains largement distribué en France et proposé aux élèves étudiant l'espagnol. Cet enthousiasme est sans doute dû au jeu des acteurs, particulièrement à la prestation extraordinaire de Jorge Perugorría, dans le rôle de Diego, et à la vision critique développée par le cinéaste .

Indian Palace, de John Madden

Ce film de John Madden , adapté du roman, "These Foolish Things" , a suscité des appréciations fort contrastées à sa sortie : "un bel hymne à la vie doté d’ un humour léger et plaisant" , pour les uns ; "une fable britannique gâteuse qui se frotte aux clichés bollywoodiens" , "un mauvais circuit touristique organisé par un quelconque tour-opérateur", "entre clichés néo-colonialistes et philosophies de comptoir" , pour les autres.

Il offre, en outre, une belle galerie de portraits grâce à l’interprétation de comédiens talentueux.

Eramos pocos, de Borja Cobeaga

Joaquín, que sa femme vient de quitter, décide d’aller rechercher, avec son fils, la grand-mère abandonnée à l’asile pour qu’elle s’occupe de la maison. Peu à peu le doute s’installe : n’y a-t-il pas erreur sur la personne ? Un quiproquo que sans doute personne n’a intérêt à lever…
Au delà de l’humour et du problème de société abordé — la famille, la place des personnes âgées — la construction de ce court métrage de Borja Cobeaga et les procédés mis en œuvre par le cinéaste sont particulièrement subtils et méritent qu’on s’y attardent.

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