Question récurrente, en début d'année, entendue si souvent dans la bouche des élèves de collège et de lycée. Question irritante aux dires des collègues qui ne parviennent pas à accepter une réduction de la langue qu'ils enseignent et qu'ils aiment à sa seule utilité.
Que faut-il répondre à cette question ?
Avant d'y répondre, peut-être faut-il essayer de comprendre ce qu'elle signifie, ce qui se cache derrière.
Date:
Juillet, 2008
Editeur:
LE GRAIN
Revue / Ouvrage:
Site du GRAIN
Auteurs:
Maria-Alice Médioni