représentations

Le monstre, ce héros

A partir de trois formes d’expression artistique — film d’animation, BD et roman — un atelier pour explorer la figure du monstre et ce qu’elle dit de nous : quelles représentations du monstre privilégie-t-on ? à quelles peurs est-il associé ? faut-il l’anéantir ? comment peut-on l’apprivoiser ?

Le travail se fait dans le cadre d’un ensemble réunissant :
- The monstrejo, un « petit » film d’animation qui est une merveille de drôlerie et d’intelligence ;
- un extrait d’une bande dessinée, Mot ;
- un autre extrait tiré d’un roman, Amado monstruo .

MOT ou la figure du monstre

Un atelier pour explorer la figure du monstre et ce qu’elle dit de nous : quelles représentations du monstre privilégie-t-on ? à quelles peurs est-il associé ? faut-il l’anéantir ? comment peut-on l’apprivoiser ?

Le travail peut se faire dans le cadre d’un ensemble réunissant :
- The monstrejo , un « petit » film d’animation qui est une merveille de drôlerie et d’intelligence ;
- un extrait d’une bande dessinée, Mot ;
- un autre extrait tiré d’un roman, Amado monstruo.

The monstrejo

The monstrejo, un « petit » film d’animation qui est une merveille de drôlerie et d’intelligence.
Un atelier pour explorer la figure du monstre et ce qu’elle dit de nous : quelles représentations du monstre privilégie-t-on ? à quelles peurs est-il associé ? faut-il l’anéantir ? comment peut-on l’apprivoiser ?

Le travail peut se faire dans le cadre d’un ensemble réunissant ce film d’animation et :
- un extrait d’une bande dessinée, Mot ;
- un autre extrait tiré d’un roman, Amado monstruo .

L'organisation du travail

Symposium Réseau Education Formation (REF) - Genève (Suisse)
"L'organisation du travail"
9-11 septembre 2013
Coordination du Symposium : Maria-Alice Médioni, GFEN et Université Lumière Lyon 2 (avec Andreea Capitanescu de l'Université de Genève)
Contribution de Maria-Alice Médioni : Une autre organisation du travail à l'université en LE. Entre conflits de représentations et développement de l'autonomie

J'aime, j'aime pas

In MEDIONI M.-A. (2005). L'art et la littérature en classe d'espagnol. Lyon : Chronique sociale (pp. 67-72

"Il faut trouver quelque chose qui leur plaise", dit-on souvent car, croit-on, la motivation en sera d'autant plus importante. Est-ce si sûr ? Comment trouver quelque chose qui plaise à tous, dans une classe de 20 ou 35 personnes différentes ? Et puis, n'est-on pas motivé aussi par la découverte de quelque chose de nouveau ?

La fresque effervescente

Le texte qui suit est un extrait de Maria-Alice Médioni, Enseigner la grammaire et le vocabulaire en langues, Chronique sociale, 2011. Il s'agit du chapitre "Le conte. Travailler la cohérence et la cohésion", reproduit ici avec l'autorisation de l'éditeur. Cette façon de procéder peut être utilisée comme embrayeur d’écriture ou pour l’émergence des représentations, quelle que soit la question abordée.

España es simpatía

Les représentations que nous avons sur un sujet, quel qu'il soit, influencent grandement l'approche que nous en avons. Les jeunes hispanistes, même après 2, voire 3 ans d'étude, lorsqu'ils arrivent en 2de , après avoir étudié des poèmes de García Lorca, Antonio Machado, commenté des tableaux de Picasso ou de Goya..., continuent à ne voir dans l'Espagne que le pays des vacances, du soleil, des plages, et parfois aussi, de la corrida, du flamenco et de la paella.