Vocabulaire

Les intrus

In GFEN (2002). (Se) construire un vocabulaire en langues. Lyon : Chronique sociale (pp. 107-110)

Il faut rassurer les élèves qui craignent de ne pas comprendre un texte, quand ils ne comprennent pas tous les mots. Il est nécessaire aussi de le faire dans les occasions où la rencontre d'une perturbation risque de les décourager. Cette mise en confiance qui permet de dépasser le moment de déstabilisation doit être construite à travers des situations qui permettent de vérifier qu'on peut dépasser l'obstacle.

Le texte "abîmé"

In GFEN (2002). (Se) construire un vocabulaire en langues. Lyon : Chronique sociale (pp. 103-105)

Il faut avant tout rassurer : ce n'est pas parce qu'on ne comprend pas tout qu'on ne comprend rien ; ce n'est pas parce qu'il nous manque des mots qu'on ne peut pas construire le sens d'un texte. La compréhension des mots est le produit de la compréhension totale. Il s'agit donc de rassurer en proposant des situations où les élèves puissent se rendre compte qu'ils peuvent comprendre beaucoup plus de choses qu'ils ne croient.

La fresque effervescente

Le texte qui suit est un extrait de Maria-Alice Médioni, Enseigner la grammaire et le vocabulaire en langues, Chronique sociale, 2011. Il s'agit du chapitre "Le conte. Travailler la cohérence et la cohésion", reproduit ici avec l'autorisation de l'éditeur. Cette façon de procéder peut être utilisée comme embrayeur d’écriture ou pour l’émergence des représentations, quelle que soit la question abordée.

Le Réceptionniste ou comment se tissent les fils de l'agir ensemble

Pourquoi avoir choisi de proposer aux Rencontres Nationales sur l'Aide, organisées par le
GFEN, cette démarche plutôt qu'une autre alors que la problématique de l'étayage est
récurrente dans les ateliers que nous élaborons au Secteur Langues ? Certainement parce que
le contenu et la genèse de la démarche me semblent illustrer de façon particulièrement
éclairante les termes dans lesquels nous nous posons cette question.

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